Jésus reviens...

      Si vous vous étiez baladé du côté de l'église St ... dans la ville de ... vous seriez tombé sur une petite congrégation très "lèvres pincées" mais aujourd'hui ... c'était "le pot de l'amitié" trimestriel et tous les vieux se sont aglutinés pour faire une razi de petits cake aux olives, kir et vin blanc de sorte que, après 20 minutes de réjouissance les plus "téméraires" étaient déjà tous bourrés et étaient passé sous la table en vue de sortir l'acordéon et de faire chanter Régina la patriarche potugaise sur le rythme endiablé d'une gingette portugaise. pour une réson que je ne m'explique toujours pas, 10 minutes après les 3/4 de la populass' avaient désertés les lieux. Et c'est un cet instant que je ne pardonnerais jamais à ma mère de m'avoir mise au monde. Le petit accordéoniste portugais ne se sentant plus incite les restants à entamer une bourrée plus qu'effreinée sur une complainte bien arrosée ; et là (bonne mère), José arrive m'arrache le bras, que j'avais furieusement coïncé dans mon manteau, d'une façon qu'il a du coire très sensuelle (grosse erreure ...) et m'entraine, et bien malgrès moi, sur "la piste de danse".

J'eusse entendu "est-ce que vous êtes chaud ce soir ?" que cela ne m'aurait étonnée ...

L'auteur.